Les gestionnaires modernes de patrimoine doivent proposer plus qu’une simple relation forte à leurs clients. Pour les fidéliser, ils doivent disposer des connaissances précises leur permettant de répondre aux besoins et aux objectifs internationaux de leurs clients.

 

Nous avons constaté que ce sont plus particulièrement les personnes fortunés de moins de 35 ans qui sont les plus susceptibles de changer de gestionnaire de patrimoine en cas de départ à l’étranger. Absence de fidélité ?

Absence d’attachement ?

Pas forcément ! Beaucoup des membres fortunés de la génération Y ont tout simplement l’impression que leur gestionnaire dans leur pays d’origine ne sera pas en mesure de comprendre toute la complexité de leurs objectifs internationaux. Il est intéressant de constater que 65 % des Baby-Boomers expatriés ne changeront pas de gestionnaire de patrimoine. Ils pensent qu’une nouvelle relation créée à l’étranger ne sera jamais aussi forte que celle qu’ils ont actuellement.

 

Retrouvez les conclusions de notre toute dernière étude : «≠Réussir son ≠Expatriation: le parcours de l’expatriation.»